« Le jour où nous avons appris ce terrible accident à la maison, ce fut un choc. Mes grandes sœurs qui étaient plus proches d’elle en club avec USC Bassam furent littéralement clouées et scotchées. Le prénom de Halima résonnait dans la maison comme si cette figure emblématique faisait partie du quotidien de notre décor familial. J’ai rencontré Halima après ce drame et cette douleur nationale pour la première fois au début des années 2000. C’était dans les bureaux de l’ambassade de Côte d’Ivoire en France… »